Grace à notre parc de presses (jusqu'à 160T) et nos unités hydrauliques, nous réalisons tous les écrasements sur vos tubes Notre savoir faire nous permet de réaliser plusieurs opérations en même temps.
Exemple :
écrasement + découpe de l'extrémité + poinçonnage + marquage
=> en une seule opération
Un écrasement combiné avec un poinçonnage et une découpe peut se réaliser de 2 façons différentes.
On peut utiliser un outillage avec serre flanc d'écrasement, dans un premier temps, des ressorts (métallique ou à gaz) poussent le serre flanc pour écraser le tube. Il faut dimensionner correctement les ressorts pour ne pas commencer à poinçonner avant d'avoir terminer d'écraser (ex : pour écraser complètement un tube de 25x1,5 il faut prêt de 20T).
Ensuite la compression des ressorts permet aux poinçons d'entrer en action.
Lors de la remontée de la presse, les ressorts permettent la remontée des poinçons alors que la pièce est encore maintenue par le serre-flanc.
Cette technique est la plus efficace, mais en raison des efforts importants pour l'écrasement et donc de la puissance des ressorts, ces outillages représentent un coût important réservé aux grandes série (à partir de 4000€)
L'autre solution consiste à utiliser un outillage à deux postes. La partie gauche de l'outillage de fait que l'écrasement et la partie de droite ne réalise que les poinçonnages. L'outillage ne nécessite plus de serre-flanc, ni de ressorts et devient plus économique. Inconvénient : 2 opérations au lieu d'une.
Il existe plusieurs procédés de soudage
le plus couramment utilisé sur l'acier est le MAG (souvent confondu à tord avec le MIG). On parle aussi de semi-auto.
MAG : Metal Actif Gaz. Le gaz utilisé est un mélange de gaz carbonique et D'azote. Le métal est apporté par une électrode fusible sous forme de fil, apporté aumatiquement lors du soudage (c'est pour cela que l'on parle de semi-auto)
MIG : Metal Inert Gaz. Très proche du MAG, la différence tient au gaz utilisé qui contient de L'argon. Le MIG est utilisé pour les alliages d'aluminium et l'acier inoxydable.
TIG : Tungsten Inert Gaz. Comme pour le MIG, le mélange de gaz est à base d'argon (dans certains cas avec de l'hélium), mais dans le cas du TIG, l'électrode n'est pas fusible. Il s'agit d'une électrode en tungstène. L'arc électrique permet la fusion des deux zones à assembler. On peut donc travailler sans métal d'apport et obtenir une finition de très haute qualité. Cette technique nécessite des accostages très rigoureux de l'ordre du 1/10ème de millimètre. Un peu aussi utiliser du métal d'apport sous la forme d'une baguette que le soudeur tient à la main.
Le brasage est réalisé à l'aide d'un chalumeau qui permet de faire chauffer les composants à assembler, ensuite à l'aide d'une baguette de métal, on vient apporter de la brasure pour réaliser l'assemblage. Cette technique est utilisée par les plombiers lors de la réalisation des conduites d'eau ou de chauffage central.
On peut remplacer le chalumeau par une source à induction, qui permet une montée en température plus élevée mais nécessite des inducteurs adaptés à chaque assemblage.
Le brazage au four est aussi souvent utilisé dans les grandes série (type automobile). Les composants sont pré-assemblés (souvent par quelques points de soudure), la brasure est posée sous forme d'anneaux ou de pâtes, puis les pièces passent dans un four.
Les deux points forts du brasage sont un aspect très fin (quasi invisible pour un non initié) et une garantie d'étanchéité. Pour ces raisons, ce procédé est souvent utilisé sur les tubes destinés à transporter un fluide ou pour des pièces d'acpect (par exemple pièces de mobilier chromé)